Nos vacances d'été 2017

1- Saint Léger du Ventoux

Première semaine de vacances les pieds dans le Toulourenc, au pied du versant nord du Ventoux.

Trempettes dans la piscine du gîte (La Bergerie des Salamandres) et dans la rivière, très très fréquentée en cette période de fortes chaleurs.

Construction d'empilages de galets au bord de l'eau, ça détend et ça n'a aucun impact sur le flux de la rivière et sur les poissons.

Quelques photos prises avec le bridge (Panasonic FZ200) : des libellules, un papillon (dommage pour le papillon, la mise au point n'est pas bonne)…

2- Stage photo en Camargue

Un grand merci à Véronique, c'était mon cadeau d'anniversaire.

Alors voilà, l'action se déroule à l'Est du Grand Rhône, dans la réserve naturelle des marais du Vigueirat, dont une petite partie est ouverte au public, et une immense partie est totalement interdite d'accès … sauf pour nous ! Gérard Schmitt, le photographe qui organise ce séjour a passé une convention avec l'association qui gère la Réserve (Les Amis du Marais du Vigueirat), et notre présence est tolérée, sous certaines conditions, notamment l'interdiction de faire des photos depuis les berges (hors des postes fixes d'observations), jamais plus de trois personnes sur un étang (impeccable, nous sommes six, il y a deux étangs), et interdiction de sortir de la réserve pendant le séjour (on y est, on l'a voulu, on y reste !!). Nous sommes hébergés dans une « cabane », logement qui ressemble beaucoup à un refuge de montagne, les moustiquaires en plus. Cabane située à un peu plus de 4 km de la Maison de la Réserve Naturelle. Gérard a refermé le portail derrière nous. Ce n'est pas un stage, c'est une immersion au milieu des marais. Sentiment d'isolement au milieu de la nature, exactement comme en montagne. Quatre jours sans voir personne d'autre que les membres du groupe.

C'est là qu'on se pose la question : les membres du groupe ?? Hé oui, il va falloir s'entendre pendant 4 jours, au milieu de nulle part, avec de parfaits inconnus. Vous le savez, je suis un ours qui ne prononce jamais plus de trois mots à l'heure, quand tout va bien. Pas gagnée d'avance l'histoire, hein ??

Et bien énormissime coup de chance, je suis tombé dans un groupe de joyeux amis, aux traditions pétries d'humanisme (1ère tradition : « on trinque »). Pour résumer, certes c'était un stage photographique, dans un milieu naturel où l'homme est très peu présent, avec des affûts flottants qui permettent de passer totalement inaperçu au milieu des oiseaux … mais ce fut aussi quatre jours partagés dans une belle ambiance de rigolade et d'amitié, d'excellents moments de détente autour des repas délicieux très gentiment préparés par Claire, dans des conditions difficiles (grosse chaleur, moustiques, équipement de cuisine assez rudimentaire), donc au chapitre des remerciements, une mention spéciale pour Claire.

Cerise sur le gâteau ces joyeux lurons étaient aussi de vrais ornithologues, passionnés de nature et acharnés de la belle image (tous participants ou modérateurs sur le forum de Images & Nature, je vous invite vivement à vous rendre sur ce fil voir les images -il faut s'inscrire pour voir les photos- et les commentaires des différents membres de ce séjour en Camargue), tout en sachant se contenter, les jours de photos floues et de sujets récalcitrants, d'un lever de soleil au milieu des cris des oiseaux. Ce que j'appelle « du beau monde ».

Bien, le décor étant planté, place à l'action :


Premier jour : arrivée sur place en début d'après midi, on fait connaissance, on s'installe et puis on part en affût. Soucis : il fait 40°. Moi, d'habitude, au-dessus de 35°, je ne mets pas un orteil dehors. Gérard, annonce : « contre les moustiques, vous mettez des manches longues ». Je le savais, mais quand même j'accuse le coup.

Concernant les affûts, voici les photos et descriptions. Bref donc me voici, avec Gérard et Christine, en wadders (un assemblage de bottes soudées à une combi néoprène de 5 mm d'épaisseur), et en manches longues, par 40°. Pour les wadders j'ai pris du 5 mm parce que je me suis dit que si je les ré-utilise dans les lacs de Hte Savoie, j'aurai bien besoin d'avoir chaud !

Découverte du principe de déplacement dans les étangs :

Les étangs : 20 cm d'eau sur 20 cm de vase. Seul mode de déplacement possible : à genoux. Pour photographier : à genoux. Dernier détail : sur un étang, il n'y a pas d'ombre ! Vous vous souvenez de la scène où Le Bon et La Brute traversent le désert, dans la trilogie de Sergio Leone ?? Bon, mais ça c'était « du cinéma ». Au Vigueirat, c'était en vrai !

Bon, donc on y va. Gérard nous fait visiter l'étang (étang sud) : ici le cormoran, là les hérons et les aigrettes, là les ibis … nous parcourons entre 700 et 800 m à genoux dans la vase. Bon, on fait des photos. Je découvre avec effroi que l'écran de mon appareil ne fonctionne plus : écran blanc. Cela ne m'empêche pas de prendre des photos, mais je ne peux pas les visualiser, et surtout, je n'ai plus accès aux menus des réglages. Et ce qui doit arriver ne manque pas d'arriver : alors que je cadre un oiseau, mon gros blaze vient s'appuyer sur le bouton de la balance des blancs (ça m'arrive assez souvent, mais d'habitude je refais le réglage tout de suite). Presque TOUTES mes photos du séjour auront une température de couleur beaucoup trop froide (valeur à 3650, au lieu d'une valeur comprise en général entre 5000 et 6500). Défaut que je pourrai corriger une fois de retour à Passy, sur mon écran habituel. Mais dans la cabane, avec la dalle brillante de l'ordi portable de Véronique dont je n'ai pas l'habitude, impossible (de toutes façons, le logiciel qu'il me faudrait pour cela, j'utilise Raw Therapee, n'est pas installé sur le portable de Véronique).

Bon, retour à la cabane, douche, repas (« on trinque »), conversations animées … puis dodo (enfin, tentative de dodo parce que entre la chaleur et les ronflements … c'est pas facile.


2ème jour : réveil à 5h30. L'impression de ne pas avoir dormi plus de 10 minutes. Les yeux qui piquent. Petit déjeuner. Ambiance électrique : ciel gris bien foncé, éclairs sur Arles, le vent se lève. Qu'à cela ne tienne, Gérard fonce aux affûts. Bizarrement, tout le monde traîne les pieds. En fin de compte, peut-être face à l'inertie du groupe, ou face au vent qui crée de belles vaguelettes sur les étangs (affûts instables = photos impossibles) et surtout qui nous ferait dériver un peu trop méchamment, il jette l'éponge. Pour ce matin, on se contentera des postes d'observations sur les berges. Beau lever de soleil avec ciel rougeoyant. Alors que je suis grimpé sur la trour d'observation entre la cabane et l'étang nord, je remarque une grosse pierre toute ronde, posée dans l'herbe à une trentaine de mètres. Un coup de jumelles ; c'est un lapin. Il est à peine 8h10, le ciel est gris, le lapin est gris, l'herbe n'est plus très verte, mais bon, je le mets quand même dans la boîte !

Une fois le coup de tabac passé, vers 8h15, on part aux affûts, en cherchant les coins abrités du vent. En fin de matinée le retour par vent de travers, est assez physique : il faut bien tenir l'affût pour ne pas dériver.

Repas, chargement des photos dans les ordis, sieste, puis chacun montre une ou deux de ses images du jour, commentaires … 

Et vers 17h30, c'est reparti pour un tour.

Je change d'étang : étang nord. Il est moins étendu, et quelques poteaux et branches servent de perchoirs au martin pêcheur. Je pars en visite, je parcours 100 m, photographie une ou deux aigrettes en train de pêcher, quand je suis pris d'un gros coup de faiblesse : heureusement que je suis à genoux car si j'avais été debout je crois que je serais tombé dans les pommes. J'ai très chaud et je me sens mal, j'étouffe. 19h10, je rejoins doucement le bord de l'étang, amarre l'affût et je rentre à la cabane, éloignée de 250 m. A pied sur le chemin, wadders sur l'épaule, il me faut près de 15 minutes pour faire ces 250 m. Je suis HS. A ce moment, la déception est énorme, je tiens à peine debout et je ne me vois pas retourner en affût le lendemain matin. Je suis sonné, complètement KO.

Douche, repas (bon et copieux comme d'hab.), je me requinque. La nuit un orage éclate, la température tombe, je dors bien.


3ème jour : Au réveil, ça va mieux, bien mieux. Malgré tout, je joue les prolongations, je traîne un peu au lit et ne saute dans l'étang nord qu'à 6h25, depuis « le port ». Cette entrée par « le port » est très particulière : d'abord elle n'est qu'à 50 m de la cabane. Et surtout, l'arrivée dans l'étang se fait dans une sorte de couloir, encadré de végétation haute, et en forme de L inversé. A la sortie du L (c'est à dire à l'entrée de l'étang), se trouve l'une des branches qui sert de perchoir au martin pêcheur.

Sous mon affût flottant, j'arrive au niveau du coude du L, et je pivote à 90° pour « prendre le virage ». Avant de repartir en avant, un petit coup d'œil par la lucarne, et miracle, il est là ! Je me dis que j'aurais dû me poster bien plus tôt. Mais en même temps, si j'avais été là avant lui, se serait-il posé sur cette branche ?? A cette heure, il fait encore sombre et même au 1/100 sec. et f/5,6, les ISO grimpent à 3200. Tant pis, je tente le coup et déclenche. Je descends au 1/60 sec. pour faire baisser la sensibilité à 2000 iso. Mais le bruit du déclencheur le dérange et il finit par s'en aller. Tout ému, je passe le reste de la matinée avec un crabier chevelu et des ibis. Et puis aussi, pendant quelques minutes, j'entends fourailler dans les herbes hautes sur la berge dans mon dos. Je vois les herbes bouger, mais aucun animal n'apparaît. Après un bon moment, il s'éloigne en faisant « Grouïk grouïk ». C'était un sanglier. Le lendemain (dernier jour), Dominique aura la joie de photographier une laie suivie de ses marcassins, traversant l'étang devant lui !

Au total une belle matinée : un martin pêcheur (une martine en fait), un ibis qui se toilette dans une belle lumière, le coup du sanglier, le tout sur moins de 30 m parcourus à genoux. Je commence à comprendre la tactique : il faut se poser à un endroit stratégique, et attendre, sans bouger. On peut même étirer ses jambes vers l'arrière, l'une après l'autre.

En fin d'après-midi, nouveau poste sur le même étang, mais un peu plus loin, en fait au même endroit que la veille, là où j'ai eu mon coup de pompe. Il fait chaud, et je décide de me ménager. Je reste à l'ombre du seul tamaris du secteur, auquel sont amarrés les affûts. C'est à dire que je me contente d'entrer dans l'affût et de détacher le mousqueton qui le retient à la branche, point barre. Plus fainéant ce n'est pas possible. Des libellules viennent se poser sur les branches et sur des ronces tout près. Le temps passe, les ombres s'allongent et la température diminue progressivement. J'allonge un tout petit peu mon rayon d'action. A cet endroit, l'étang mesure 30 m de large. Près de la rive d'en face (rive Est), se trouve un poteau. Près de la rive ouest, à moins de 50 m au sud se trouve une branche. Ce sont deux perchoirs à martin. Ce matin, j'ai eu de la chance, mais les quelques images que j'ai pu faire sont assez bruitées. J'aimerais beaucoup faire de nouvelles photos du martin pêcheur dans une belle lumière de fin de journée. Je reste donc à proximité de ces deux perchoirs. Un crabier pointe le bout de son bec sur la rive Est. Un busard des roseaux survole l'étang. Enfin un rapace en vol, qui correspond à ce que j'ai l'habitude de photographier en montagne ! Mais l'appareil photo est fixé à l'affût, au ras de l'eau, ce qui complique la tâche sur les oiseaux en vol à une certaine hauteur. Lorsque je reviens à mon crabier, je constate qu'il a disparu. Mais quelques minutes plus tard, il est remplacé par une aigrette. Un coup d'œil par-dessus l'épaule, pour vérifier le poteau. Bon sang, il est là ! Je ne l'ai pas vu venir. Il est tout près, à 5 m, peut-être moins. Je fais pivoter mon affût tout doucement, trèèèès lentement, je braque le téléobjectif dans sa direction, je ne respire plus. Il est toujours là, il n'a pas bougé. En réalité c'est Mme Martine qui est là. Elle va passer un bon moment autour de moi, elle va pêcher, passer sur la branche un peu plus loin et revenir se poser sur le piquet. Un très grand moment pour moi. Le martin pêcheur est un oiseau incroyablement photogénique, avec des couleurs très vives, métalliques. Je l'ai vue plonger, et remonter quelques secondes après sur son piquet, avec quelques algues dans le bec. Elle a rejeté les algues et c'est là que j'ai vu qu'elle avait aussi un petit poisson.

Cerise sur le gâteau : alors que j'étais en train de revenir au point d'amarrage, un cheval est passé sur le chemin, et a descendu le talus pour venir boire à l'étang, avec un garde-bœuf sur la croupe, qui sautillait en écartant les ailes pour maintenir son équilibre.


4ème jour: Petit affût rapide le matin, sans trop de conviction, sur l'étang sud, avec du vent. Le cormoran n'est pas à son poste habituel. Tant pis, je me rabats sur un héron situé en bordure d'une petite baie un peu abritée du vent, la lumière est plutôt pas mal. Bon, rien d'inoubliable ce matin là !


Conclusion :

Ce que je retiens d'abord c'est la sensation d'isolement, l'immersion au milieu des étangs, la coupure avec « la civilisation », rien que pour cela, ces trois jours valent 2 semaines de vacances.
Ensuite, l'ambiance du groupe réellement excellente, entretenue par une équipe de passionnés, qui se connaissaient déjà mais qui m'ont tout de suite intégré, des gens très sympas qui prennent plaisir à partager leurs connaissances et leur expérience, à rendre tous les passages à table très conviviaux …
Ensuite, sur le plan photographique :

Sur le prospectus qui m'avait donné l'idée de participer à ce stage, j'avais été attiré par une très belle photo d'ambiance, c'était je crois une « simple » aigrette, ailes étendues, parfaitement sublimée par une légère brume. Bon, pour la brume, au mois d'août, on repassera (malgré l'orage), ça je m'y attendais. J'espérais beaucoup photographier le héron pourpré et le martin pêcheur. Le héron pourpré s'est montré particulièrement discret et seule Christine a réussi à lui tirer le portrait, au milieu d'un entrelacs de branches de tamaris. Donc bon, pas trop de regret là-dessus, c'était vraiment un héron difficile à photographier sur ces 6 séances d'affût, et bravo à Christine qui a su aller le chercher !! Concernant le martin, je crois bien avoir été le seul du groupe à le mettre en boîte, et en plus c'est une première pour moi ! Donc grosse satisfaction. Sans doute la chance du débutant. Et aussi le coup de chaleur qui m'a incité à limiter mes déplacements et donc à rester tout près de ses perchoirs. Du coup, il est bien possible que les prochaines vacances en Provence soient consacrées exclusivement à ce petit oiseau bleu. J'adorerais le photographier en action, ou avec un gros poisson dans le bec, ou avec des gouttes d'eau lorsqu'il s'ébroue, ou lorsqu'il se lisse les plumes. Le martin pêcheur figure à quatre reprises parmi les "photos du mois" d'Erwan Balanca (dont une fois sous l'eau !!), c'est dire !!

Je retiens encore au moins trois choses :

1- J'avais lu une citation d'un « grand photographe » qui disait qu'un bon photographe est celui qui sait ne pas déclencher. En effet, pour sortir LA belle photo, il est impératif de ne pas se précipiter, et d'attendre la belle attitude, le comportement photogénique, l'action de pêche, le mouvement graphique … Et pour cela il faut s'être débarrassé de l'empressement du débutant. Je le savais bien sûr, mais c'est une chose de le savoir et c'en est une autre de le ressentir. C'était ma 1ère séance en Camargue, et je me suis empressé de faire la photo du martin dès que je l'ai vu, de peur qu'il ne s'en aille avant que j'ai pu déclencher. La prochaine fois, ce sera différent.

2- Le matériel indispensable qui permet d'attendre tranquillement la belle attitude de son sujet, c'est l'affût. C'est vraiment incroyable comme les oiseaux s'approchent sans aucune crainte des tentes qu'ils ont l'habitude de voir sur l'étang, ils pêchent, se toilettent … ils mènent leur vie comme si on n'était pas là. Si on ne bouge pas et qu'on ne fait pas de bruit, on peut observer de très jolies scènes et réaliser des photos fantastiques.

Ce ne sera pas facile pour moi, qui suis tout de même un peu "randonneur dans l'âme", et qui ai une fâcheuse tendance à piquer du nez dès que je tente un réel affût, mais je vais essayer d'appliquer cet excellent principe, pas plus tard que très bientôt (dès que mon boitier sera revenu de réparation).

3- Avec ces affûts flottants, le téléobjectif se trouve à environ 10 cm au-dessus de la surface de l'eau. Avantage: on est à la même hauteur que les oiseaux, ce qui évite les vues en plongée (pas très belles en général). Inconvénient: on a souvent plusieurs lignes "d'horizon" superposées qui coupent la photo horizontalement (la ligne de l'eau, la ligne de la végétation, la ligne du ciel, parfois il y a même plusieurs lignes dans l'eau) et les oiseaux de grande taille "traversent" souvent plusieurs de ces lignes horizontales, ce qui n'est pas souvent d'un bel effet.

3- La montagne: Ceillac

Cette année, pas de photo de chevreuil ! Ce n'est pas faute d'avoir essayé, mais je n'ai pas réussi. Le lundi, en randonnée avec Véronique et Endy Truffe, nous en avons vu quatre. Le lendemain (mardi), je repars dans le même secteur. J'en ai vu plusieurs, mais par manque de méthode (appareil photo rangé dans le sac aux mauvais moments), je les ai tous ratés ! J'y suis encore retourné le jeudi, suis resté posté 3 heures derrière un gros tronc couché, et RIEN ! Juste un écureuil photographié à 80 m de distance (zéro, nul), puis il a retraversé le couloir (15 m de large) à une distance bien plus intéressante (peut-être 30 m), mais de manière totalement anarchique ce qui fait que je n'ai même pas réussi à le mettre une seule fois dans le viseur !!

J'ai tout de même réussi quelques photos de marmottes, lors d'une randonnée au col de Bramousse avec Véronique et la Truffe (en faisant un petit détour par le sentier des Aiguillettes, sentier qui traverse plusieurs couloirs bien raides et où la terre avait un peu coulé lors des orages de la semaine précédente, du coup Véronique a encore "gagné" une glace !). Bref, donc des images de marmottes (de marmottons surtout) réalisées avec mon vieux bridge Panasonic, car ce jour là, j'en avais un peu ras le bol de porter le gros téléobjectif pour rien !!

Enfin le vendredi, nous sommes retournés au lac de Clausis et j'ai pu photographier à nouveau les edelweiss repérées en 2016 (avec le Nikon cette fois), même si, peu après le 15 août, elles étaient un peu "passées".

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